Claire Piette – A-prendre ou à cérébraliser ?
L’engouement pour les neurosciences ne s’arrête pas au champ de la santé mentale, il se propage aussi dans le champ de l’éducation. Pareil
L’engouement pour les neurosciences ne s’arrête pas au champ de la santé mentale, il se propage aussi dans le champ de l’éducation. Pareil
Lacan laissait déjà entendre, dans son Éthique de la psychanalyse, que le lieu propre de la science la met en relation avec
Un siècle après les découvertes de Freud qui repérait dans l’hystérie « un manque de correspondance entre le soma et l’être » comme le
Tout n’est pas écrit, ni dans le cerveau, ni dans le génome, ni dans le langage. C’est ce qui noue les contributions
2084… l’espèce sujet n’a pas survécu ! Le monde est maintenant peuplé de corps errants, hors langage, tenus en laisse par leurs servos.
Qu’il serait beau d’être un cerveau en pleine expansion ! C’est bien ce que nous promettent les neurosciences : nous avons un
a-kephalos continue de vous proposer les « cartes blanches » de nos correspondants dans les régions de l’Eurofédération de psychanalyse. Depuis Athènes, Marina Frangiadaki nous
La science a cette puissance d’être déségrégative, car son discours exploite un mode très pur du sujet. Éric Laurent nous l’a rappelé à
Je localise, tu localises, ils localisent – c’est du sérieux. L’organisme, la molécule et la chimie, c’est difficile – mais, ça va. La pensée,